mercredi 21 octobre 2009

La vaccination contre la grippe A commence

Le début de cette campagne ne concerne pour l'instant que le personnel hospitalier

En revanche, la vaccination pour les citoyens débutera "après les vacances de la Toussaint dans l'ordre de priorité défini par le premier ministre", précise le ministère de la Santé.

Les citoyens prioritaires sont les femmes enceintes, l'entourage des nourrissons de moins de six mois et les nourrissons de six à 23 mois avec des facteurs de risque.

La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, présentera mardi à 10h00 la campagne de vaccination lors d'une conférence de presse au ministère, à Paris. Rappelons enfin que la France a commandé 94 millions de doses du vaccin contre la grippe A auprès des groupes Sanofi-Novartis.

Décès d'un bébé de 11 mois à Paris

Un bébé de 11 mois, hospitalisé à Paris depuis vendredi, est décédé dimanche matin de la grippe A H1N1
"Cet enfant était par ailleurs porteur d'une pathologie cardiaque grave associée", a précisé l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris dans un communiqué.

Il s'agit du 33e décès en France de malades porteurs du H1N1 pandémique depuis le début de l'épidémie.

L'enfant avait été admis en urgence dans la nuit de jeudi à vendredi dans un hôpital de la région parisienne puis transféré rapidement à Necker "avec une température à 40 degrés ainsi que des symptômes notamment de toux et de vomissements". Il avait "une maladie du myocarde (...) qui ne pouvait qu'évoluer défavorablement, à une vitesse qu'on ne connaît pas. Le seul projet thérapeutique à terme en cas d'aggravation moins brutale aurait été une transplantation cardiaque", a-t-on précisé de source médicale.

Depuis le début de l'épidémie, 8 malades porteurs du H1N1 en France sont décédés en métropole et 25 en outre-mer: 9 en Nouvelle-Calédonie, 7 en Polynésie française, 6 à la Réunion, 1 en Guyane, 1 en Martinique et 1 à Mayotte.


Dans l'Hexagone, la campagne de vaccination contre le virus H1N1 devrait débuter mardi, a annoncé le ministère de la Santé.

mercredi 16 septembre 2009

Grippe A : 40 % des décès frappent des bien portants

Martine Perez, Le Figaro, 14/09/2009
Un jeune homme de 26 ans est décédé lundi en France des complications de la grippe A. Il avait toujours été en bonne santé.

Un homme de 26 ans, sans facteur de risque, est mort dimanche de la grippe H1N1 à Saint-Étienne, devenant le premier cas de décès en France métropolitaine d'un patient sans autre maladie connue. Lundi, un expert de l'Organisation mondiale de la santé, lors d'un congrès, révélait que 40 % des décès liés à la grippe H1N1 dans le monde frappaient des personnes jusqu'alors en bonne santé, 60 % des personnes souffrant de facteurs de risque. Les quatre personnes décédées précédemment en France métropoli­taine souffraient de pathologies graves (déficit immunitaire, diabète, etc.), selon l'Institut national de veille sanitaire (INVS).

«Il ne présentait pas de pathologie particulière connue, outre des symptômes grippaux et de grosses difficultés respiratoires lorsqu'il s'est présenté, samedi vers 18 heures, aux urgences hospitalières de Saint-Étienne», a souligné quant à elle la préfecture de la Loire. Un traitement associant du Tamiflu et des antibiotiques lui a été administré dès le diagnostic de grippe H1N1 établi. Mais deux heures après son admission au CHU, le jeune homme tombait dans le coma. La cause du décès, surinfection pulmonaire, pneumonie vi­rale, n'est pas encore connue. Ce dernier décès porte à 22 le nombre de morts en France liées au virus H1N1 : cinq en métropole, et dix-sept outre-mer.

(...) Lundi, un expert de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) expliquait que près de 40 % des personnes décédées des suites de la grippe H1N1 étaient des personnes généralement en bonne santé et plutôt jeunes.

Entre 25 et 49 ans

«40 % des cas de maladies les plus graves, ainsi que des cas mortels frappent des personnes qui sont considérées comme généralement en bonne santé», a expliqué Sin Lun Tam, un expert de l'OMS invité à la Conférence européenne des maladies pulmonaires, qui se tient jusqu'au 16 septembre à Vienne. Plus de la moitié des personnes atteintes des formes les plus graves de cette grippe sont âgées de 20 ans ou moins. D'autre part, de 15 à 30 % des malades hospitalisés doivent être admis dans des ser­vices de soins intensifs. Le taux de mortalité est le plus élevé dans les groupes de personnes ayant entre 25 et 49 ans, révèlent encore ces dernières statistiques de l'OMS.

Pour l'instant, on ne connaît pas très bien le taux de décès lié à ce virus. Pour cela, il faudrait connaître le nombre exact de personnes ayant été infectées et le nombre exact de personnes décédées. Beaucoup de malades souffrant d'une forme bénigne ne consultent pas et échappent à toute statistique. Jusqu'au 11 septembre dernier, l'OMS avait recensé au moins 3 205 décès depuis l'apparition du virus H1N1 en mars-avril dernier.
LE FIGARO

mardi 1 septembre 2009

Pandémie grippale : circulaire relative à la gestion des ressources humaines dans la fonction publique

Cette circulaire vise à assurer la continuité du service public dans les administrations de l’État et des collectivités locales en cas de pandémie grippale.

dimanche 30 août 2009

Une mortalité 100 fois supérieure à la grippe saisonnière

Bonjour,
La grippe A H1N1, ou mexicaine porcine, pourrait être bien plus virulente que la grippe saisonnière, avec une mortalité directement liée au virus cent fois supérieure, selon le Pr Antoine Flahaut, directeur de l'Ecole des hautes études de santé publique (EHESP) de Rennes, dans un publication en date du 24 aout (Plos Currents: Influenza). Donc, devant l'imminence d'un Tsunami viral cet automne, il faut penser en priorité à tenter de prévenir les risques de surinfections pulmonaires mortelles et la durée de la grippe, par une augmentation de nos défenses immunitaires, tel que le Sambucol (extrait de sureau), qui a déjà fait ses preuves sur toutes sortes de grippes, tant en laboratoire que sur des patients. Des personnes qui n'avait aucun facteur de risque, ni aucune vulnérabilité particulière, de 30 à 50 ans, sont décédés contre toute attente!

mardi 28 juillet 2009

Le Sambucol est efficace à plus de 99% contre le virus H5N1

Le Sambucol a été créé par le Dr Madeleine Mumcuoglu, une experte mondiale en virologie. L’institut de recherche Retroscreen Virology du Queen Mary College, University of London, a confirmé le 21 janvier 2006 l’extrême efficacité du Sambucol. Cette découverte pourrait être un grand pas en avant dans la lutte contre la pandémie annoncée.

OU TROUVER LE SAMBUCOL EN FRANCE?

Je n'ai réussi à trouver le Sambucol que dans une seule pharmacie parisienne, dans le 17e arrondissement. Je vous confie l'adresse au cas où vous pourriez vous y rendre pour prémunir et augmenter les défenses immunitaires de toute votre famille: 48 rue Legendre Paris (métro Rome, ou Pont Cardinet).
Pour plus d'informations sur le Sambucol, vous pouvez consulter le site www.sambucol.com, trés riche en informations pratiques.
Charles Lambret.

Y A T'IL UN TRAITEMENT NATUREL CONTRE LA GRIPPE A ? LE SAMBUCOL

Les baies de sureau noir ont été utilisées pendant des siècles pour traiter la grippe, les rhumes et les sinusites, et pour augmenter le système immunitaire. Les recherches cliniques récentes publiées confirment le rôle des baies de sureau noir dans le soulagement des symptômes grippaux, quel que soit la forme de grippe.


QU’EST-CE QUE LE SUREAU NOIR ?

Noms communs : sureau, sureau noir, sambu.

Noms botaniques : Sambucus nigra, Sambucus canadensis, famille des caprifoliacées.

Noms anglais : elder, black elder, elderberry, american elder.

Parties utilisées : les fleurs et les baies.

Habitat et origine : arbuste ou arbrisseau qui pousse dans les bosquets et les terrains incultes, en Europe, en Amérique du Nord et dans la plupart des régions tempérées. Bien qu'il en existe plusieurs espèces, seuls le sureau noir et le sureau blanc ont fait partie d'une véritable tradition médicinale.

Indications

Baies – Traiter la grippe.

Fleurs séchées — Traiter le rhume et les inflammations des voies respiratoires.

Fleurs et baies —Traiter la bronchite, la sinusite, le mal de gorge et le rhume, combattre les infections virales, dont la grippe et l’herpès, traiter les infections des voies urinaires et soulager les douleurs rhumatismales.


LE SAMBUCOL

Cet extrait de baies de sureau noir est sur le marché depuis plusieurs dizaines d’années, en Europe et dans 17 pays à travers le monde entier comme remède de la grippe.

En 2006, un institut de recherches médical britannique a effectué des tests de culture cellulaires et ont annoncé que que ce produit était très efficace contre le virus de la grippe aviaire, H5N1.

Une année plus tôt, une autre étude avait montré que le remède n'était pas seulement efficace contre la grippe humaine et aviaire, mais aussi la grippe mexicaine porcine. Mais à cette époque-là, personne ne s'était vraiment souciée de la grippe porcine. L'effet antiviral de Sambucol ne serait donc pas spécifique d’un seul type de grippe, mais il serait efficace contre tous les virus de grippe.

Selon Barak et Collègues(1), le Sambucol à base de Sambucus nigra, basé sur un extrait de baie de sureau noir standardisé, serait un remède naturel avec des propriétés antivirales, particulièrement efficace contre les différents types de virus de la grippe. Sambucol s’est révélé être efficace in vitro contre 10 types de virus de grippe. Dans une étude en double aveugle, contre placebo, randomisée, Sambucol a réduit les symptômes grippaux en 3 à 4 jours. Le sérum ayant été mis en contact avec les virus a montré un niveau d'anticorps anti-grippaux plus élevé dans le groupe de Sambucol, que dans le groupe témoin. L'étude a confirmé l'effet du Sambucol sur le système immunitaire sain, à savoir son effet sur la production de cytokines. La production de cytokines inflammatoires a été évaluée après incubation avec du Sambucol. La production de cytokines inflammatoires (IL-1 bêta, TNF-ALPHA, IL-6, IL-8) a été significativement augmentée par l'extrait de baie de sureau noir Sambucol. L'augmentation la plus importante a été notée dans la production de TNF-ALPHA. Sambucol aurait donc des propriétés antivirales et d’augmentation des défenses immunitaires, grâce à la production de cytokines. Cela permettrait donc d’augmenter les défenses des sujets immunodéprimés, tels que les patients atteints de cancer ou de SIDA.

Il faudrait donc prendre du Sambucol à titre préventif pour augmenter ses défenses immunitaires contre la grippe commune, et probablement également contre la grippe A, dite grippe mexicaine ou grippe porcine. Sambucus ou Tamiflu devraient être pris dans 48 heures après l’exposition au virus, le plus tôt étant le mieux. Les composés flavonoides du Sambucus agiraient grâce à l’antivirine, qui agirait en se liant au virus et en neutralisant l’activité des hémaglutinines, avant qu’elles ne pénètrent les parois cellulaires, inhibant ainsi leur capacité à se diffuser. Les enzymes viraux sont neutralisés en présence d’extrait de Sambucol.

De plus, dans la baie de sureau se trouvent d’autres composés, les anthrocyanines, qui ont un effet anti-inflammatoire, avec diminution des douleurs et de la fièvre.

Une autre étude, de Zakay-Rones et collègues, publiée en 1995 (2), a montré que les patients traités avec du Sambucol avait une nette diminution de leurs symptômes grippaux de virus influenza B, après 48 heures, alors que les patients qui ne prenaient qu’un traitement placebo mettaient six jours à retrouver une forme physique normale.

Une autre étude portant sur des patients atteints surtout de la grippe à influenza A, montra que les patients récupéraient en 3,1 jours alors que le groupe de patients témoins mettait 7,1 jours pour récupérer. Aucun effet secondaire du traitement n’avait alors été retrouvé, et pourrait être prescrit tant aux enfants qu’aux adultes.

Enfin, d’autres petits moyens complémentaires peuvent être utilisés pour augmenter les défenses immunitaires en prévision d’une atteinte grippale sévère : les oligoéléments (Cuivre-Or-Argent oligosol, Manganèse-Cuivre oligosol) et l’extrait d’échinacée (Arkopharma).

Références :

- 1. Barak V, Halperin T, Kalickman I. The effect of Sambucol, a black elderberry-based, natural product, on the production of human cytokines: I. Inflammatory cytokines.Eur Cytokine Netw. 2001 Apr-Jun;12(2):290-6.

- 2. Zakay-Rones Z, Varsano N, Zlotnik M, Manor O, Regev L, Schlesinger M, Mumcuoglu M.

Inhibition of several strains of influenza virus in vitro and reduction of symptoms by an elderberry extract (Sambucus nigra L.) during an outbreak of influenza B Panama. J Altern Complement Med. 1995 Winter;1(4):361-9.

- A systematic review on the sambuci fructus effect and efficacy profiles.

Vlachojannis JE, Cameron M, Chrubasik S.

Phytother Res. 2009 Jun 22.

- The Immunomodulatory Effect of Sambucol on Leishmanial and Malarial Infections.

Waknine-Grinberg JH, El-On J, Barak V, Barenholz Y, Golenser J.

Planta Med. 2009 Feb 12.

- Novel chemiluminescence-inducing cocktails, part II: measurement of the anti-oxidant capacity of vitamins, thiols, body fluids, alcoholic beverages and edible oils.

Ginsburg I, Sadovnic M, Oron M, Kohen R.

Inflammopharmacology. 2004;12(4):305-20.

- The effect of herbal remedies on the production of human inflammatory and anti-inflammatory cytokines. Barak V, Birkenfeld S, Halperin T, Kalickman I. Isr Med Assoc J. 2002 Nov;4(11 Suppl):919-22.

PREVENTION-GRIPPE-A, DITE MEXICAINE PORCINE

SYMPTOMES

C’ est une maladie respiratoire qui entraîne des symptômes semblables à ceux de la grippe humaine saisonnière : fièvre, fatigue, céphalées, courbatures, douleurs musculaires, perte de l’appétit, toux, maux de gorge, éternuements et sécrétions nasales. Elle peut aussi provoquer des vomissements et de la diarrhée.

Le virus H1N1 n’a aucune parenté avec le virus saisonnier. Ce virus ne touche pas exclusivement les personnes âgées et les enfants, ayant tué des personnes de tranches d’âges normalement moins vulnérables à la grippe, soit des adultes de 25 ans à 45 ans en bonne santé.

793 cas confirmés ou probables ont été observés par l'Institut de veille sanitaire (InVS) en France, selon un bilan datant du 22 juillet. Un passage en "phase 6" pandémique est prévu par le ministère de la Santé à la rentrée, sauf si la circulation du virus s'accélère au cours du mois d'août.

Sur plusieurs centaines de milliers de personnes infectées dans le monde, on compte aujourd’hui plus de 700 morts, dans un rapport de 1 pour 1000, le virus continuant sa progression à grande vitesse sur la planète. Ainsi, si on estime que 10 à 20 millions de personnes risquent d’être atteintes en France, cela signifie qu’il pourrait y avoir de 10 000 à 20000 morts en France, du fait du virus.

PREVENTION :

Elle se transmet par contact avec des sécrétions contenant des particules virales, c’est-à-dire par la toux ou des éternuements. Le virus peut aussi se transmettre par contact direct, plus rarement. Les lieux confinés et très fréquentés, comme le métro, le bus, les collectivités scolaires, sont propices à la transmission de ce virus. Les sujets infectés sont contagieux dès la veille des signes apparents de la maladie et durant 7 jours.

Il faut appliquer des mesures « barrières » de prévention et d’hygiène:

- Se laver les mains régulièrement avec de l’eau et du savon.

- Se couvrir la bouche et le nez lorsqu’on tousse ou éternue.

- Se faire vacciner contre la grippe, pour renforcer son système immunitaire.

- Porter un masque n’est pas indiqué, sauf si on pense être soi-même porteur du virus, avec une toux ou une fièvre. Certains masques de protection seraient inefficaces, d’où l’intérêt des masques FFP2 ou FFP3, de même que différents autres équipements : gants, lunettes, vêtements.

et certaines mesures d’éloignement social : fermeture d’établissements scolaires, suppression de rassemblements, isolement des patients susceptibles d'être infectés par le virus de la grippe A H1N1, distance à respecter avec un malade (ne pas dormir dans le lit conjugual).

La loi va encourager le recours au télétravail, qui est un moyen d'assurer la poursuite d'une activité en limitant les risques d'exposition du personnel au virus de la grippe.

En effet, lors de l'examen de la proposition de loi "pour faciliter le maintien et la création d'emplois", les députés ont adopté début juin un amendement visant à promouvoir le télétravail en cas de pandémie.

NOTE : IL NE FAUT PAS NEGLIGER LES TRAITEMENTS IMMUNOSTIMULANTS A BASE D’EXTRAITS DE PLANTES (PHYTOTHERAPIE) TELS QUE L’EXTRAIT DE SUREAU NOIR OU D’ECHINACEE, TANT POUR LE TRAITEMENT PREVENTIF QUE POUR LE TRAITEMENT CURATIF EN COMPLEMENT DU TAMIFLU.

TRAITEMENT

Il fait appel aux antiviraux, c'est-à-dire aux médicaments destinés à lutter contre la multiplication du virus de la grippe de façon générale. Il s'agit du Tamiflu (oseltamivir) et du Relenza (zanamivir) dans le cadre du traitement et de la prévention de la grippe porcine. Ces médicaments sont indiqués en période de circulation du virus grippal en traitement curatif, ou de façon préventive pour les personnes ayant été en contact avec le virus. Leur distribution sera assurée sous contrôle du ministère de la Santé.

Ces médicaments sont susceptibles d'empêcher le virus de la grippe A H1N1 de se reproduire chez les patients, évitant ainsi de graves complications comme une éventuelle pneumopathie ou une méningite.

Ces médicaments ont des effets secondaires : nausées et de vomissements, voire réactions allergiques. Ils seraient également susceptibles d'entraîner des perturbations du fonctionnement du système nerveux central, avec une augmentation du risque de suicide.

Les antibiotiques, inactifs sur les virus, ne sont utilisés qu’en cas de surinfection bactérienne.

VACCINATION

Elle constitue le moyen le plus efficace de prévention, mais nécessite tout d'abord l'isolement du virus de la pandémie de grippe A H1N1 et l'élaboration de celui-ci. Il faut ensuite administrer le vaccin obtenu aux individus contaminés par le virus ce qui nécessite au préalable leur identification.

Le vaccin habituellement utilisé contre la grippe saisonnière n'est pas automatiquement efficace contre la grippe A H1N1.

Le vaccin spécifique contre H1N1 devrait être disponible en automne, "entre octobre et décembre", selon Roselyne Bachelot, après une autorisation de mise sur le marché. Dès qu’il le sera, la vaccination est évidemment plus que recommandée. Elle devrait comporter deux doses par personne, injectées à deux semaines d'intervalle. Le vaccin sera remboursé par la Sécurité sociale et les mutuelles, et sera injecté par le médecin traitant ou une infirmière.

Par contre, le vaccin contre le pneumocoque, principale complication de la grippe et principale cause de mortalité en cas d’épidémie, existe déjà sous le nom de PNEUMO 23®. Ce vaccin est recommandé chez toute personne âgée, fragile ou immunodéprimée. En prévision d’une épidémie de grippe, cette vaccination est d’autant plus importante. 1 injection unique permet une protection de 3 ans minimum.